Des surveillants dans les cantines de Plan-de-Cuques
Le Maire de Plan-de-Cuques a estimé plus efficace de confier à une société de gardiennage plutôt qu’à 9 tatas la mission de s’occuper des enfants des écoles de Plan de Cuques. pendant le temps de la restauration.
A l’heure où ce temps de restauration est de plus en plus considéré comme un temps éducatif de loisir, alors que de nombreuses villes mettent à profit ce moment pour initier les enfants (comme le préconise de PNNS * ) à une bonne hygiène nutritionnelle, La Ville de Plan de Cuques s’inscrit radicalement dans une politique de gardiennage des enfants.
Cette décision fait suite à une grève du personnel municipal qui avait osé demander du personnel supplémentaire car les tatas trouvaient difficiles d’assurer à deux la sécurité, le confort, la tranquillité de 180 ou 200 enfants dans une cours d’école.
Les agents municipaux concernés par ce dispositif n’ont que des contrats sur des emplois précaires depuis de longues années et elles avaient aussi sollicité leur titularisation.
Ce travail d’encadrement des enfants est une tâche difficile qui nécessite de connaître les enfants d’établir des contacts avec les familles et les enseignants.
Les enfants de Plan de Cuques ont ils vraiment besoin d’être surveillés par des vigiles ? Ou cette décision vise-t-elle uniquement à couper court à toute tentative de dialogue entre le personnel municipal et le Maire ? N’aurait il pas été préférable, au lieu de faire appel à une société privée, d’intégrer le personnel contractuel dans la fonction publique territoriale ?
Le Syndicat SDU 13 FSU des agent territoriaux souhaite interpeler les parents sur les conséquencesque pourraient avoir sur les enfants et pour l’image de l’école la présence d’agents de surveillance. La tata c’est, pour l’enfant, l’image de l’adulte dans sa dimension affective, rassurante, éducative et conviviale, c ‘est celle qui l’a connu tout petit et en qui il a confiance.
En sera t-il de même avec les vigiles?
A l’heure où ce temps de restauration est de plus en plus considéré comme un temps éducatif de loisir, alors que de nombreuses villes mettent à profit ce moment pour initier les enfants (comme le préconise de PNNS * ) à une bonne hygiène nutritionnelle, La Ville de Plan de Cuques s’inscrit radicalement dans une politique de gardiennage des enfants.
Cette décision fait suite à une grève du personnel municipal qui avait osé demander du personnel supplémentaire car les tatas trouvaient difficiles d’assurer à deux la sécurité, le confort, la tranquillité de 180 ou 200 enfants dans une cours d’école.
Les agents municipaux concernés par ce dispositif n’ont que des contrats sur des emplois précaires depuis de longues années et elles avaient aussi sollicité leur titularisation.
Ce travail d’encadrement des enfants est une tâche difficile qui nécessite de connaître les enfants d’établir des contacts avec les familles et les enseignants.
Les enfants de Plan de Cuques ont ils vraiment besoin d’être surveillés par des vigiles ? Ou cette décision vise-t-elle uniquement à couper court à toute tentative de dialogue entre le personnel municipal et le Maire ? N’aurait il pas été préférable, au lieu de faire appel à une société privée, d’intégrer le personnel contractuel dans la fonction publique territoriale ?
Le Syndicat SDU 13 FSU des agent territoriaux souhaite interpeler les parents sur les conséquencesque pourraient avoir sur les enfants et pour l’image de l’école la présence d’agents de surveillance. La tata c’est, pour l’enfant, l’image de l’adulte dans sa dimension affective, rassurante, éducative et conviviale, c ‘est celle qui l’a connu tout petit et en qui il a confiance.
En sera t-il de même avec les vigiles?
*Plan National Nutrition Santé.