communiqué de presse
La FSU réclame la libération de la lycéenne du lycée Saint Charles arrêtée suite à la manifestation du 24 mars à Marseille, elle réclame l’arrêt des poursuites à l’encontre de cette jeune fille et du lycéen du lycée Victor Hugo mis en examen lors de la manifestation du 17 Mars.
A quinze jours d’intervalle, les jeunes scolarisés et en particulier les lycéens sont descendus trois fois dans la rue, toujours plus nombreux (3000 le 24 Mars) pour réclamer le retrait du projet de loi El Khomri.
Une dizaine de lycées a été bloquée par les élèves inquiets pour leur avenir. En une semaine la mobilisation des jeunes s’est considérablement étendue.
La seule réponse possible aux inquiétudes légitimes de la jeunesse et des salariés ne peut être la répression et le discrédit contre un mouvement qui a le soutien d’une très large majoritué de français.
De nouveau lors de cette manifestation, les forces de police n’ont pas assuré la sécurité des manifestants notamment lors de l’occupation pacifique et momentannée de l’entrée de l’autoroute A7. Pire encore, elles s’en sont pris à une jeune lycéenne sur le parvis de la gare, alors qu’elle venait de quitter le cortège.
Elle s’adresse au gouvernement afin que celui-ci prenne les mesures nécessaires pour un retour au calme, à savoir le retrait du projet de loi et l’ouverture de négociations pour renforcer le droit des salariés dans l’exercice de leur travail.
La FSU appelle tous les personnels à faire grève massivement le 31 Mars et à défiler dans la rue, dans l’unité des organisations syndicales et de jeunesse.
A quinze jours d’intervalle, les jeunes scolarisés et en particulier les lycéens sont descendus trois fois dans la rue, toujours plus nombreux (3000 le 24 Mars) pour réclamer le retrait du projet de loi El Khomri.
Une dizaine de lycées a été bloquée par les élèves inquiets pour leur avenir. En une semaine la mobilisation des jeunes s’est considérablement étendue.
La seule réponse possible aux inquiétudes légitimes de la jeunesse et des salariés ne peut être la répression et le discrédit contre un mouvement qui a le soutien d’une très large majoritué de français.
De nouveau lors de cette manifestation, les forces de police n’ont pas assuré la sécurité des manifestants notamment lors de l’occupation pacifique et momentannée de l’entrée de l’autoroute A7. Pire encore, elles s’en sont pris à une jeune lycéenne sur le parvis de la gare, alors qu’elle venait de quitter le cortège.
Elle s’adresse au gouvernement afin que celui-ci prenne les mesures nécessaires pour un retour au calme, à savoir le retrait du projet de loi et l’ouverture de négociations pour renforcer le droit des salariés dans l’exercice de leur travail.
La FSU appelle tous les personnels à faire grève massivement le 31 Mars et à défiler dans la rue, dans l’unité des organisations syndicales et de jeunesse.